– Quand avez-vous candidaté pour la première fois au Label CEEP-CSR ?La Semaest a candidaté dès le début du label, en 2008. Il s'appelait à l'époque Discerno, et bénéficiait de subventions européennes.
– Quelles étaient les motivations de la Semaest ?Cela correspondait à une réflexion déjà initiée. La Semaest a commencé dès 2004 à réfléchir aux aspects de développement durable. En 2006, elle a créé un poste de chef de projet développement durable pour engager et suivre de manière transversale les actions dans ce domaine. Cela a donné lieu à un Plan Société d'actions développement durable décliné sur plusieurs points : des actions sur le bâtiment des bureaux de la Semaest, le fonctionnement des activités, les déplacements, et des actions dans chaque direction.Il s'agissait d'une démarche volontaire de la part de la Semaest. Quand il nous a été proposé de répondre au projet de Label européen en 2008, on s'est dit "on y va !". La Semaest a par la suite élargi ses démarches vers la certification, notamment ISO 14001 sur le métier d'aménageur.
– Que vous a apporté le Label CEEP-CSR ? Pourquoi recandidatez-vous à chaque édition ?Le rythme de ce label — tous les 2 ans — est idéal. Il nous permet de refaire un point sur nos démarches en matière de RSE, et de mettre en valeur ce qui fonctionne, tant en interne que vis-à-vis de l'extérieur.Par ailleurs, le niveau européen de ce label est intéressant : il nous permet de découvrir des pratiques d'Epl dans d'autres pays européens, avec des bonnes pratiques et des différences qui enrichissent la réflexion.
Les candidatures sont ouvertes jusqu'au 25 mai 2018 sur csr.ceep.eu (en anglais)