Dans La Dépêche du Midi en date du 16 septembre, Francis Grass, adjoint en charge de la culture à la mairie et président de la Spl du Metronum, en dit plus sur la plus-value du label : « J’avais engagé le processus en 2017 mais la salle était municipale donc impossible de donner le label à une ville. Donc nous sommes entrés en discussion interne sur la possibilité de la rendre autonome et sur le fait qu’elle était constituée de 80 % d’agents publics. Nous avons opté pour la solution de la Société publique locale qui a été énormément utilisée dans le monde de l’aménagement et du transport, mais relativement peu dans la culture ».
Ancrer l’équipement culturel dans le quartier
Si la réputation de la salle dépasse le quartier, l’élu souhaite qu’elle soit ancrée dans le quartier et intègre encore plus leurs habitants. Le Metronum entend proposer un programme musical caractérisé par la diversité, en valorisant l’esthétique des musiques actuelles. L’équipe municipale est convaincue qu’un tel outil est en mesure de faire rayonner le quartier et que le modèle juridique de la Spl va largement y contribuer.